Expositions
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Rites Egyptiens
- L’Égypte berceau de l’initiation
- La Haute Maçonnerie Égyptienne de Cagliostro
- L’Ordre Sacré des Sophisiens la Lumière de Thèbes sur les bords de Seine
- La patente de 77e de Pierre-Joseph Briot de juin 1811: le plus ancien témoignage de l’existence du Rite de Misraïm
- Le Rite de Misraïm au XIXe siècle
- Jean-François-Aimé Perrot un érudit oublié entre égyptologie et Maçonnerie Égyptienne
- Marconis de Nègre et les origines du Rite de Memphis
- Memphis-Misraïm ou la renaissance des Rites Égyptiens au XXe siècle
- Le Grand Ordre Égyptien
Première moitié du XIXe siècle, laiton, D. : 7,6 cm, Musée de la franc-maçonnerie (coll. GODF). Photo Ronan Loaëc
Portrait de Marc Bedarride (vers 1776-1846) par Jacques-François Llanta (1807-1864).
1845, lithographie par Lemercier, frontispice du livre De l’Ordre maçonnique de Misraïm, H. : 21 cm ; L. : 13 cm, Bibliothèque du GODF.
Marc, initié en 1801, fut le premier des trois frères Bedarride à s’impliquer dans le Rite de Misraïm à Naples en 1811. Après l’avoir rapatrié en France, il en restera le principal animateur jusqu’à sa mort en 1846.
Symboles des derniers grades du Rite de Misraïm
Eau-forte, [Claude-Antoine Vuillaume], Manuel maçonnique ou tuileur de tous les rites, Paris, Hubert & Brun, 1820, planche XXIV, H. : 20 cm ; L. : 12 cm, Bibliothèque du GODF
Patron de brodeur pour un sautoir du 66e degré du Rite de Misraïm
Première moitié du XIXe siècle, papier, encre de Chine, aquarelle, H. : 36 cm ; L. : 45,6 cm, Musée de la franc-maçonnerie (coll. GODF). Photo Ronan Loaëc.
Sautoir du 66e degré du Rite de Misraïm
XIXe siècle, moire blanche, broderies d’or et d’argent, jaserons, rondelles, galon, H. : 54,5 cm; L. : 48 cm ; Largeur : 11 cm, Musée de la franc-maçonnerie (coll. GODF). Photo Ronan Loaëc.
Sautoir du « Grand Inquisiteur Commandeur, Souverain Prince du 66e degré ». Le 66e degré « Chef de la 2e série », conclue l’échelle des grades empruntés à l’écossisme. Les grades propres à Misraïm commençant avec le 67e degré.
Sautoir du 87e degré du Rite de Misraïm
XIXe siècle, moire blanche, broderies d’or et d’argent, jaserons, rondelles, galon, ruban, H. : 54 cm ; L. : 48 cm ; Largeur : 10,5 cm, Musée de la franc-maçonnerie (coll. GODF). Photo Ronan Loaëc.
Sautoir du « Grand Ministre Constituant, Souverain Prince du 87e degré ».
Bijou de Grand Ministre Constituant de l’Ordre
Première moitié du XIXe siècle, soie, laiton, D. : 3 cm, Musée de la franc-maçonnerie (coll. GODF). Photo Ronan Loaëc.
Les 87e, 88e et 89e degrés ont le titre de « Grands Ministres Constituants de l’Ordre »
Sautoir du 90e degré du Rite de Misraïm
XIXe siècle, moire blanche, broderies d’or, jaserons, rondelles, H. : 56 cm ; L. : 60 cm ; Largeur: 10,2 cm, Musée de la franc-maçonnerie (coll. GODF). Photo Ronan Loaëc.
Bijou du 90e degré du Rite de Misraïm
Médaille de « Com\ des Chev\ Def\ de la Maçonnerie »
XIXe siècle, laiton, D. : 3 cm, Musée de la franc-maçonnerie (coll. GODF). Photo Ronan Loaëc.
La Puissance Suprême de Misraïm disposait d’une « décoration » pour récompenser les services rendus à la Maçonnerie : l’Ordre des Chevaliers Défenseurs de la Maçonnerie (voir : Pierre Mollier, Curiosités maçonniques, énigmes, intrigues et secrets dans les Loges, Dervy, 2021).
La Loge L’Orientale au sein du Grand Orient de France
1867, Sceau de la Loge L’Orientale.
En 1865, un conflit au sein de la « Puissance Suprême » de Misraïm entraîne le départ d’un groupe de Frères réunis autour du Second Grand Surveillant Jacques Ragaigne. Ceux-ci rejoignent le Grand Orient de
France qui les autorise à ouvrir une Loge au Rite de Misraïm sous le titre distinctif de L’Orientale, intégrant ainsi Misraïm aux côtés de Memphis.
Reliure "aux armes des 90e"
Vers 1855, Reliure delichagrin rouge, fer, Collection privée.
1898, imprimé, H. : 21 cm ; L. : 13,5 cm, Bibliothèque du GODF, Fonds Ragaigne.
À la fin du XIXe siècle, mis à part quelques Frères encore versés dans l’ésotérisme, les travaux des Loges de Misraïm se rapprochent beaucoup de ceux du Grand Orient et de la Grande Loge de France.